Avec Teuf-Teuf, l’Orchestre du Grand Turc vous propose de faire deux fois plus la fête (la teuf… Teuf-Teuf… bref). Montez à bord et embarquez dans la voiture immatriculée 22OGT76 sur une route pleine d’aventures et de franche rigolade.
Bailler devant un opéra, ça vous est déjà arrivé et plus d’une fois. Avec cette version du King Arthur, le seul risque que vous prenez, c’est celui de rire.
C’est en zappant un soir de l’année 2004 que mes yeux se retrouvent sur ARTE qui propose un documentaire racontant le voyage en Inde d’un violoniste français qui m’était jusque là inconnu… vous aurez deviné qui.
Pour fêter ses 30 ans (qui datent déjà d’il y a presque 4 ans), l’orchestre a compilé dans un seul CD quelques uns des succès de ses précédents albums que voici :
Colossal, monumental, « cathédralesque entreprise », puissance, expérience inoubliable, rêve de jeunesse, partition extraordinaire, prouesse, fourmillement sonore, un vrai délice, un vrai délire !
Que les Rouennais ne se méprennent pas, il ne s’agit pas d’Hervé Niquet, le prof de guitare basse de l’école de musique de Grand-Quevilly (à moins qu’il n’ait fait une petite séance de chirurgie esthétique !), mais bien de son homonyme chef d’orchestre français.
Lorsqu’on joue d’un instrument, on s’intéresse avant tout aux œuvres puis aux compositeurs, mais rarement à l’essence même de notre art, les luthiers. Et pourtant, sans instrument, pas de musique !
Qui de mieux que le chef Jacques Petit lui-même pour parler de son orchestre hilarant ?