Ah… Crémone… Cremona…
Pour ce dernier article de l’année, Colette s’interroge. Beaucoup. Je vous laisse en sa compagnie !
Pour ce dernier article de l’année, Colette s’interroge. Beaucoup. Je vous laisse en sa compagnie !
Voici le tout premier article d’une des altistes de l’orchestre. 🙂 Dedans, elle m’y a appris que l’auteur dont je vous avais parlé ici avait écrit un 2ème livre sur le violon. Lisez la suite, Nicole (puisque c’est elle dont il s’agit !) vous en dira plus.
J’ai longtemps pris pour des maniaques les gens qui passaient je ne sais combien de coups de chiffons sur leur violon… Jusqu’au jour où
Je suis ravie de vous retrouver pour cette nouvelle année riche en concerts (calendrier bientôt disponible !). Mais… je ne suis pas seule à bavarder ici cette fois-ci. Une des musiciennes de l’orchestre
C’est toujours un plaisir de vous faire (re)découvrir la face cachée du violon. Dans un précédent article déjà, je vous avais fait part de ma découverte du livre Les Violons du Roi de Jean Diwo autour de la lutherie au XVIème siècle. Aujourd’hui, revenons à notre époque.
Lorsqu’on joue d’un instrument, on s’intéresse avant tout aux œuvres puis aux compositeurs, mais rarement à l’essence même de notre art, les luthiers. Et pourtant, sans instrument, pas de musique !